L'Histoire de Beauxbâtons

Voici L'Histoire de Beauxbâtons, il est bien de la lire pour votre culture générale!
hs: C'est le premier chapitre, c'est moi qui l'ai écrite et imaginée.

Il était une fois, jadis, une jeune paysanne qui se promenait avec un panier dans les bois d’Horoscedes. Elle était partie chercher des plantes médicinales telle la Mandragore. En marchant, elle aperçut un loup. La jeune paysanne était très courageuse et elle n’avait point peur de l’animal. Au contraire, elle tomba en admiration devant cette splendide bête. Le loup lui montra ses crocs et s’approcha hargneusement. La petite paysanne recula d’un pas mais ne cilla pas. Le loup continuait de s’approcher en lui faisant découvrir les fines et tranchantes lames qui ornaient sa mâchoire. La jeune fille recula de plus en plus et s’entrava dans une racine. Le loup stoppa net et alla se cacher derrière un arbre. Quelques minutes plus tard, il en ressortit un jeune garçon, vêtu comme un riche, qui marcha vers la jeune paysanne d’un pas fier.
-Bonjour, dit-il à la jeune fille d’un ton supérieur tandis qu’elle était étendue de tout son long, à terre, je vois que je t’ai bien fait peur.
La jeune fille se releva d’un mouvement brusque et répondit :
-Pas du tout ! Je n’ai point eu peur !Puis-je me permettre de vous demander si vous êtes un Animagus ?
Le jeune garçon sourit d’un air narquois et répliqua :
-En effet, il se peut que je sois un Animagus…mais un Animagus très féroce…
La paysanne dit :
-Les loups ne sont pas des créatures féroces !
Le jeune garçon s’appuya contre un arbre et dit d’un ton nonchalant :
-Sais-tu qui je suis, petite ?
La jeune fille cilla et répondit :
-Non, j’ignore qui vous êtes. Cependant, je peux deviner que vous êtes un homme riche grâce à vos vêtements.
-Hum !dit le garçon, oui, mais je suis beaucoup plus que ça…je suis le fils du roi, héritier de la couronne !
La jeune fille écarquilla les yeux de stupeur et se jeta au genoux du dauphin pour s’incliner et réciter :
-Sire, excusez-moi de ma maladresse !
-Ce n’est point grave, ma chère, répliqua le jeune homme, satisfait, je m’appelle Maximilien de Woodcroft. J’ai 19 ans et toi ?
-Sire, je m’appelle Elsa Cliodna, et j’ai 17 ans.
-Tu es une gamine, en gros, dit Maximilien avec supériorité, que faisais-tu avant notre rencontre ?
La jeune fille se releva et montra son panier au dauphin, elle expliqua :
-J’étais partie dans la forêt afin de chercher quelques Mandragores. Ma petite sœur est malade et je dois trouver une solution pour la guérir.
Maximilien hocha la tête et demanda :
-Es-tu une sorcière de sang-pur ?
-Non, sire, répondit Elsa, mes parents sont moldus. Ils…ils ne sont pas au courant que je suis une sorcière…ils le prendraient certainement mal…
Le garçon ricana et répliqua :
-Mes parents, eux, sont de souche de sang-pur. Ça ferai un choc au peuple s’il savait que le roi et la reine sont en réalité des sorciers !
-Mais…sire ! Pourquoi me confiez-vous une information d’une si haute importance ?
-Parce que tu es une sorcière, petite idiote, dit Max en grinçant les dents, mais à part toi, il n’y a personne au courant…enfin, si, il y a le jeune duc de Fontenelle et le comte d’Armesis, des amis à moi, sorciers tout comme nous, ma chère…Bien, il se fait tard et je dois rentrer au château, nous nous reverrons peut être plus tard, ma chère.
La jeune fille s’inclina devant Max et sortit du bois.

En rentrant chez elle, Elsa se précipita sur les Mandragores qu’elle venait de cueillir. Elle sortit un petit flacon de la poche de sa cape et en versa trois gouttes dans les feuilles des Mandragores. Ensuite, elle entreprit de réduire les plantes en bouillie et les mit dans un verre. Elsa porta le verre à sa petite sœur, Caroline qui était allongée sur un tapis.
« Oh, que je souffre de ne pouvoir offrir un minimum de confort à ma sœur adorée ! Nous sommes si pauvres… »
Elsa tendit le verre à Caroline qui le but d’un trait.

Pendant ce temps, Maximilien s’habillait pour aller souper.
« Je sens que je vais bien m’amuser avec cette gamine !Ha, que les jeunes sont insouciants ! Bien que je n’ai que deux ans de plus qu’elle, cela représente quand même une marge de temps ! »
Le jeune dauphin sortit de sa chambre pour se diriger vers la salle à manger.
En y arrivant, il s’assit en face de son père, le roi qui lui demanda :
-Mon fils, qu’a tu donc fait aujourd’hui ?
-Je suis allé marché dans les bois afin de me dégourdir un peu les jambes, l’air y était quelque peu frais et agréable…